LeBistrot du Barrage: Beau cadre au bord de la rivière - consultez 26 avis de voyageurs, 4 photos, les meilleures offres et comparez
Error 403 Guru Meditation XID 670569639 Varnish cache server Lepréfet de la Manche a signé les arrêtés autorisant la destruction des barrages hydroélectriques de Vezins et La Roche-qui-Boit, situés sur la Sélune, à 30 km du Mont-Saint-Michel, a annoncé mercredi la préfecture.. Après des années de tergiversations, ces actes concrétisent l'annonce en novembre 2017 par Nicolas Hulot, alors ministre de la TransitionLebarrage du gouffre d’Enfer, Noëllie Ortega, Elodie Ravel, Éditions Édelgé, 2017. Bien que très tentant, je ne prendrai pas l’escalier qui descend à plus de 50m de profondeur, emprunté par des amateurs de via ferrata ou de parcours de montagne. Je voudrais rejoindre La Rochetaillée dont m’a parlé Jean-Claude.
Error 403 Guru Meditation XID 672041634 Varnish cache server TheVezins and La Roche Qui Boit hydroelectric dams, located in the Sélune River (Normandy, France), have been operating since the 1920s and 1930s.However, now their reservoirs are filled with sediment, generate low profits and, in the summer, host toxic cyanobacteria. For these reasons and the risk of sanctions from the Water Framework Directive, the French government En juin 2021, la Chine inaugurait le barrage de Baihetan sur le fleuve Yangzi, qui deviendra à terme la plus grande centrale hydroélectrique au monde huit millions de mètres cubes de béton coulés dans la total, on compte aujourd'hui plus de grands barrages à travers le monde, selon la base de données de la Commission internationale des grands barrages. Ces gigantesques ouvrages génèrent 70% de l'électricité renouvelable dans le monde et contribuent ainsi à décarboner l' que les barrages présentent aussi de nombreux inconvénients ils déplacent des milliers de personnes lors de la construction, perturbent le milieu naturel, endommagent la faune et la flore et relâchent des gaz à effet de serre lorsque la matière organique des zones inondées se compter les conflits possibles dans la gestion de l'eau, comme avec le barrage de la Renaissance sur le Nil, où l'Égypte et le Soudan accusent l'Éthiopie de vouloir les plus, le nombre d'endroits propices à l'installation de nouveaux barrages n'est pas illimité. En France, par exemple, le territoire est déjà complètement insoupçonnésIl existe pourtant une solution facile pour augmenter la production électrique sans nuire à l'environnement rétrofiter les barrages existants afin de les transformer en barrages faut savoir que la majorité des barrages sont construits à des fins d'irrigation pour constituer un réservoir d'eau, contrôler un cours d'eau ou créer une base de loisirs. En ajoutant de petites turbines et un générateur à ces barrages, on pourrait fournir de l'électricité aux communautés locales ou les connecter au réseau, suggère idée a fait l'objet d'une étude parue en novembre dans la revue Environmental Research Letters, qui montre que l'on pourrait générer 78 gigawatts supplémentaires en améliorant les barrages hydroélectriques existants –l'équivalent de sept fois la production électrique du barrage géant de Belo Monte au Brésil, l'un des plus grands au le bassin du Mékong, le rétrofit pourrait à lui seul générer deux fois plus d'électricité que tous les barrages actuellement planifiés, note l'étude. Et malgré un coût global de 238,3 milliards de dollars 210,7 milliards d'euros, cela resterait moins cher que de construire de nouveaux barrages d'une capacité États-Unis, trente-six barrages ont ainsi été rétrofités depuis 2000, de quoi générer 500 mégawatts d'électricité supplémentaire. En Europe, où il est pratiquement impossible de construire de nouveaux barrages, le rétrofit est même la seule option pour augmenter la capacité hydroélectrique, souligne n'est cependant pas toujours aisé de procéder à la transformation. Certains barrages sont tout simplement mal positionnés, ont un réservoir insuffisant ou ne peuvent pas être utilisés sous peine de priver d'eau les agriculteurs qui misent la tendance est plutôt à démolir les vieux barrages. En 2018 et 2020, les barrages de Vezins et de La Roche-qui-Boit en Normandie ont ainsi été détruits afin de redonner à la rivière son aspect initial. Retour à la nature ou production d'énergie propre demeure le dilemme qui agite la communauté écologique.Dautre part les barrages piègent les sédiments, qui s'accumulent et concentrent les polluants dans le bassin de retenue des eaux. L'absence d'apport de
Des rivières bétonnées, des cours d’eau obstrués... Au XXe siècle, l’Europe a misé sur l’hydroélectricité pour disposer d’une source d’énergie renouvelable. Mais les barrages empêchent certaines espèces de poissons migrateurs, notamment les saumons, de faire la navette entre l’océan et la rivière pour se reproduire. Les barrages sont-ils un obstacle à la biodiversité ? Jean-Marc Roussel, le docteur de la rivièreSur la rivière Sélune, près de la baie du Mont-Saint-Michel, nous partons à la rencontre des "docteurs de la rivière", le directeur de recherche à l’Inrae Jean-Marc Roussel et ses équipes. Leur travail ? "Prendre le pouls" de l’écosystème. Sur la Sélune, le barrage de Vezins, un barrage de 35 mètres, a été retiré en 2019. Un autre, celui de la Roche-qui-Boit, est actuellement en cours de démolition. Jean-Marc Roussel et ses scientifiques capturent des poissons et des invertébrés, les comptent, les mesurent, pour voir si la rivière se porte mieux sans barrages. Son constat est sans appel le cours d’eau "commence à retrouver un aspect naturel" et la nature à "reprendre ses droits". Et il s’émeut "Dans un moment où l’on pense que beaucoup de choses ne vont plus au niveau de notre environnement, on peut avoir des signes assez tangibles d’un retour de la nature."En Europe, 500 000 barrages inutiles ?Tous les barrages sont-ils utiles ? C’est la question que se pose Roberto Epple, président du European Rivers Network, qui "se bat pour des rivières vivantes". En Auvergne, le barrage du Chavanon a été construit il y a 100 ans. Il n’a jamais été achevé, n’a jamais produit quoi que ce soit et obstrue aujourd’hui un cours d’eau. Selon Roberto Epple, la moitié des barrages européens, soit 500 000 ouvrages, n’auraient en réalité aucune utilité et seraient "obsolètes, trop vieux, trop anciens". À l’époque de leur construction, leur fin de vie n’a pas été pensée. Qui doit payer pour la déconstruction ?Poutès, un barrage sur mesure pour la rivière ?Peut-on concilier production hydroélectrique et respect de la biodiversité ? Sur l’Allier, le redimensionnement du barrage de Poutès a été achevé en 2022. Sa hauteur a été abaissée de 20 mètres à 7 mètres et une grande partie de l’ouvrage en béton a été retirée. De plus, deux vannes centrales peuvent désormais être ouvertes pour laisser couler la rivière et permettre aux saumons de passer en période de reproduction, pendant trois mois de l’année. Si le barrage ne produit rien pendant cette ouverture, le site a conservé 85 % de sa production annuelle. Est-ce un exemple à appliquer ailleurs ?Céline Bérard, un coup de main pour les saumonsMais pour sauver les saumons, transformer les barrages risque de ne pas suffire. Cela coûte cher et prend du temps alors que l’espèce a besoin d’aide immédiatement. Au Conservatoire national du saumon sauvage de Chanteuges Auvergne, Céline Bérard donne un coup de main aux poissons. Elle capture des saumons, les fait se reproduire puis élève la progéniture dans des cuves aux conditions semblables à leur milieu naturel. Les alevins sont ensuite lâchés dans la rivière pour repeupler l'écosystème.EDFdébute l'extraction des sédiments présents dans le lac de la Roche-Qui-Boit afin de reprofiler le lit de la vallée de la Sélune et d’éviter leur transfert en aval pour protéger la baie du Mont-Saint-Michel. Il s’agit là de la première des trois étapes du chantier de renaturation du barrage hydroélectrique. 22 AU 24 SEPTEMBRE
La France lance le plus grand projet de démantèlement des barrages en Europe La décision française de démanteler deux grands barrages marque sans doute le début d'une nouvelle ère en Europe. En effet, des milliers de barrages empêchent les rivières européennes de couler librement. L’exemple français encouragerait les pays à s’impliquer davantage dans la revitalisation de leurs rivières et la destruction des barrages à grande échelle plutôt que leur construction. Le WWF est membre de la coalition Dam Removal Europe. Cela fait huit ans que la France envisage de démolir les barrages de Vezins 35 mètres et de La Roche- qui-Boit 15 mètres sur le fleuve de la Sélune en Normandie. La déconstruction de ces anciens barrages, après presque 100 ans de production d'énergie hydroélectrique, est un évènement marquant dans l’attitude des gouvernements européens envers leurs rivières et la production d’énergie » a souligné Roberto Epple, fondateur et président du European Rivers Network ERN. La suppression de ces obstacles va aider à repeupler l’entièreté de la Sélune, un tronçon de 90 km, permettant ainsi aux poissons de poursuivre leur route migratoire. Ce qui va augmenter rapidement la biodiversité de la rivière. » Une révolution dans la gestion de nos rivières La décision française de démolir ces barrages est le projet le plus ambitieux en Europe même si l'Espagne et la Finlande avaient déjà détruit de nombreux petits barrages obsolètes ces dernières années. La fragmentation des rivières, causée par les barrages et d'autres infrastructures, a joué un rôle majeur dans la perte catastrophique de poissons et d'autres espèces d'eau douce à travers l’Europe. C’est une opération exceptionnelle pour restaurer la biodiversité dans la Sélune. Une très bonne nouvelle pour les saumons sauvages et les anguilles dont les migrations ont été bloquées par les barrages ces dernières années. La disparition de ces obstacles physiques aidera à inverser cette tendance et apportera d'autres avantages aux communautés le long des berges européennes. Les revenus des pêcheurs pourront également augmenter suite au retour des poissons dans les rivières. Les associations de pêche ont longtemps travaillé avec les écologistes français pour faire démolir les deux barrages de la Sélune dans le cadre de la coalition des Amis de la Sélune ». Choisir d'enlever ces barrages va révolutionner la politique européenne des rivières au lieu d'ériger de nouveaux barrages, il est temps de commencer à démanteler les barrages et à ramener la vie dans nos rivières » a déclaré Bart Geenen, chef du service Eau douce du WWF Pays-Bas. Les études montrent clairement que la destruction des barrages est de loin le moyen le plus rentable de restaurer les rivières. Les rivières vivantes améliorent la biodiversité et offrent de nouvelles opportunités intéressantes aux populations locales. »
Aujourdhui, la tendance est plutôt à démolir les vieux barrages. En 2018 et 2020, les barrages de Vezins et de La Roche-qui-Boit en Normandie ont ainsi été détruits afin de redonner à la rivière son aspect initial. Retour à la nature ou production d'énergie propre demeure le dilemme qui agite la communauté écologique.
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C’est un constat que nous avions déjà dressé la semaine dernière en partant de la source de la Morge. Suivre son fil, c’est découvrir les reliques d’un temps passé. Des symboles d’une autre époque. Comme celle où les forces de la nature étaient encore nécessaires pour moudre le grain. Les moulins sont en effet nombreux sur les berges de la Morge. Après un rapide départ du village de Montoute, à Saint-Angel, il suffit d’à peine vingt minutes de marche et de brièvement quitter le cours d’eau pour rejoindre son affluent en provenance du Gour de Tazenat et rencontrer l’un de ces géants de pierre le moulin des Desniers. Le moulin des Desniers a entièrement était rénové par ses propriétaires Un moulin pluricentenaire Situé sur une propriété privée, celui-ci n’en demeure pas moins accessible – au moins d’extérieur –, même pour les randonneurs de passage. Il n’y a plus beaucoup de moulin en si bon état, c’est pour cela que l’on tient à ce que les scolaires et les randonneurs puissent le découvrir », explique Bertrand Guillaumot, l’un des propriétaires. Malgré quelques péripéties – le moulin a été vendu deux fois puis racheté en 1990 –, le moulin appartient à sa famille depuis 1905. C’est d’ailleurs celle-ci qui a entrepris sa rénovation durant la dernière décennie du XXe siècle. Chaque année, le moulin des Desniers accueille la fête du Pressoir Néanmoins, le moulin est bien plus vieux. La première trace écrite qui le mentionne date de 1641 », complète Guy-Michel Lamotte, guide qui fait visiter sur rendez-vous la bâtisse séculaire. Hydraulique, à vent ou animalière, le retraité bricoleur a également construit de nombreuses miniatures motorisées des différents types de moulins qu’il présente à son audience dans une salle adjacente. Guy Michel Lamotte a réalisé de nombreuses maquettes de moulins pour expliquer leurs fonctionnements Recevez par mail notre newsletter loisirs et retrouvez les idées de sorties et d'activités dans votre région. Une auberge dans sa dernière année Si elle n’est pas aussi ancienne, l’auberge des Peytoux – que l’on peut rejoindre en 45 minutes à pied en empruntant la D16 qui longe la Morge – appartiendra bientôt également au passé. Achetée par Ingrid Fend et son ancien compagnon il y a 44 ans pour en faire une chèvrerie, devenue lieu de restauration en 1976, l’Auberge située sur le territoire de Blot-l’Église devrait progressivement fermer ses portes. L'auberge des Peytoux Je ne veux pas fermer du jour au lendemain mes portes. Je veux une descente en douceur. Après tant d’années extrêmement remplies, il est temps de partir en retraite… », souffle, sans nostalgie aucune, la propriétaire. Ce n’est pas facile de dire aux gens que j’arrête. Beaucoup me disent que notre auberge est une “institution”, mais ce n’est pas comme ça que je vois les choses », assure Ingrid Fend avec humilité, elle qui veut désormais prendre son temps ». C’est pour cela que la porte de l’Auberge restera ouverte pour ceux qui veulent boire un petit coup ». L'auberge des Peytoux, à Blot-L'Eglise, voit se profiler la fin de l'aventure Ingrid Fend, propriétaire de l'auberge du Peytoux Des sculptures intemporelles Résister aux affres du temps, seule la roche semble y parvenir le long de la Morge. Et encore. C’est pourtant l’impression qui se dégage du parc de sculptures de l’artiste Rufino Alvarez, peu avant la commune de Montcel, au niveau d’un pont permettant de franchir la Morge. Discret et accessible uniquement en prenant rendez-vous avec l’artiste, ce parc – toujours en cours de création – veut promouvoir un message de tolérance à ses visiteurs, notamment grâce à de nombreuses œuvres gravées directement dans la roche. Les rochers de l'artiste Rufino, peu avant Montcel J’ai commencé en 2012 et je poursuis mon œuvre dès que j’ai un peu d’argent à investir dans du matériel. Pour le moment, c’est uniquement grâce aux dons des visiteurs qui découvrent le parc mais j’espère qu’un jour, je recevrais des financements communaux pour m’y lancer à temps plein. C’est mon paradis et je pense que cela peut attirer de nombreux touristes », explique l’artiste, bien décidé à laisser sa trace dans le paysage. Quand Rufino ne sera plus là, ces statues le seront toujours ! », s’amuse ainsi le sculpteur. Lire ou relire notre premier épisode à la source de notre série d'été Au fil de la Morge Pendant ce temps, revigoré par l’eau du barrage de la SEP, la Morge, elle, poursuit son cours… Après le barrage du SEP, la morge est revigoré Florian Gallant
Cesdeux infrastructures, les barrages de Vezins (propriété de l'Etat) et de La Roche Qui-Boit Il est prévu que la destruction du barrage de Vezins s'étale du printemps 2018 à l'automneLe préfet de la Manche a signé les arrêtés autorisant la destruction des barrages hydroélectriques de Vezins et La Roche-qui-Boit, situés sur la Sélune, à 30 km du Mont-Saint-Michel, a annoncé mercredi la préfecture. Après des années de tergiversations, ces actes concrétisent l'annonce en novembre 2017 par Nicolas Hulot, alors ministre de la Transition écologique, de cette "opération unique en Europe" devant contribuer à la "reconquête de la biodiversité" et à la lutte contre le "changement climatique". Une décision de destruction des barrages avait d'abord été prise en 2009 par la France pour "mettre le site en conformité avec le droit européen". Mais en 2014, Ségolène Royal, alors ministre, l'avait suspendue en estimant qu'il fallait étudier des solutions alternatives. "90 km de cours d'eau seront entièrement ouverts à la reconquête de la biodiversité, notamment grâce au retour naturel d'espèces aquatiques emblématiques comme le saumon de l'Atlantique et l'anguille européenne", avait précisé le ministère en 2017. En 2010, la cour administrative d'appel de Nantes avait mis en demeure EDF d'"assurer la circulation des grands migrateurs au droit des ouvrages de La Roche-qui-Boit et de Vezins" avant 2014. Au préalable à sa destruction, une délicate vidange du barrage de Vezins a été menée de mai à septembre. Près m3 de sédiments sur lesquels il y avait suspicion de pollution avaient auparavant été confinés sur place, pour 20 millions d'euros, selon l'Etat. La dernière vidange intervenue en 1993 sur ce barrage avait provoqué une grave pollution de la baie du Mont, classée au patrimoine mondial de l'Unesco. Le barrage de Vezins 26 mètres de haut, 280 mètres de long, propriété de l'Etat, et celui de La Roche-qui-Boit, propriété d'EDF, datent respectivement de 1916 et 1926 et produisaient en 2012, 0,04% de la production électrique française. Leur destruction est contestée localement car elle implique la disparition d'une base nautique. La destruction du barrage de Vezins doit avoir lieu d'ici à l'automne 2019. La vidange du barrage de la Roche-qui-Boit doit intervenir à partir de 2020/2021, avait indiqué l'Etat en 2017.
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