Recueillezle jus de cuisson dans une casserole, ajoutez-y la crĂšme fraĂźche les moules et les crevettes, persil, sel, poivre. laissez cuire 3 Ă 4 mn et nappez le poisson de cette sauce. RECETTE DE TROU NORMAND - MARMITON : 70000 RECETTES DERĂ©servĂ© jadis aux repas de fĂȘte et cuit aprĂšs le pain, ce gĂąteau de riz Ă la cannelle typiquement normand, Ă©galement appelĂ© "terrinĂ©e", est le plus souvent rĂ©alisĂ© dans une terrine en grĂšs. Le nom de ce dessert rĂ©gional pourrait fort bien dĂ©couler de lâexpression normande âavoir de la gouleâ qui signifie âĂȘtre gourmandâ. Selon la ConfrĂ©rie de la Teurgoule et de la Fallue de Normandie, la recette de la Teurgoule nous aurait Ă©tĂ© transmise par des corsaires Honfleurais, pratiquant la guerre de course, qui auraient fait main basse sur une cargaison, de riz et de cannelle, transportĂ©e par un galion espagnol venu du Nouveau Monde. IngrĂ©dients pour 6 personnes Un litre de lait entier100 g de riz rond80 g de sucre cristallisĂ©Une cuillĂšre Ă cafĂ© de cannelle en poudre Une pincĂ©e de sel PrĂ©paration dâune Teurgoule traditionnelle Faire bouillir le lait entier. Verser le riz dans une terrine Ă teurgoule. Ajouter le sucre, la cannelle et une pincĂ©e de sel fin. Ajouter le lait bouillant. MĂ©langer le tout. Mettre la terrine Ă teurgoule dans un four prĂ©chauffĂ© Ă 210°C. AprĂšs un quart dâheure de cuisson, abaisser la tempĂ©rature du four Ă 135°C. Laisser cuire le tout pendant environ quatre Ă cinq heures ; le temps que le riz absorbe totalement le lait. Veiller, lors de la cuisson, Ă percer six Ă sept fois la croĂ»te qui se forme et se caramĂ©lise en surface, afin de lui donner un aspect lĂ©gĂšrement frippĂ©. Conseils Pratiques Lors de votre prochaine Teurgoule Partie, Ă©tonnez vos amis. NâhĂ©sitez pas Ă leur offrir une assiette composĂ©e dâune pomme reinette du Canada, lĂ©gĂšrement caramĂ©lisĂ©e et cuite au four, accompagnĂ©e de Teurgoule , de glace Ă la vanille et dâune belle tranche de falue bien dorĂ©e. OĂč trouver une vĂ©ritable terrine Ă Teurgoule en cĂ©ramique de grĂšs utilisable dans un four classique ? PrĂšs de Bayeux, Ă Noron-la-Poterie oĂč des dynasties de potiers perpĂ©tuent, encore de nos jours, ce savoir-faire artisanal, transmis de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. GĂąteaux et Desserts de Normandie ... - Aguignettes de NoĂ«l et du Nouvel An, Friandises et douceurs de fin d'annĂ©e - Bourdelots - CrĂȘpes aux pommes , au caramel et au beurre - CrĂȘpes aux pommes flambĂ©es - CrĂȘpes Pascaline au Pommeau de Normandie - Crumbles aux Pommes et au Calvados - Douillons aux poires - Fondants Normands Ă l'Orange et Ă la BĂ©nĂ©dictine, Moelleux, lĂ©ger et fondant - Galettes Traditionnelles Normandes au Sarrasin - GelĂ©e de pomme au Calvados - Mirliton de Pont-Audemer - Mirliton de Rouen - Omelette VallĂ©e d'Auge - Pommes en GelĂ©e au Pommeau de Normandie, Un dessert frais et fruitĂ© - SablĂ©s de Caen - SoufflĂ© Ă la pomme et au citron vert - SoufflĂ© normand - Tarte normande, La seule, l'unique ! - Teurgoule - Tiramisu aux Pommes et au Calvados Gestion de contenu spip © droits de diffusion et de reproduction rĂ©servĂ©s. CettespĂ©cialitĂ© culinaire normande se dĂ©guste en dessert, merveilleusement accompagnĂ© dâun cidre brut ou comme goĂ»ter. La teurgoule mise Ă lâhonneur . 1978 a vu la naissance de la ConfrĂ©rie de la teurgoule et fallue de Normandie, la fallue Ă©tant une autre spĂ©cialitĂ© culinaire normande apparentĂ©e Ă la brioche.
Chacun est le fruit de son hĂ©ritage⊠bon sang ne saurait mentir ! Tous les ans, la campagne monte Ă Paris et pour rien au monde, Mr ne manquerait ce rendez-vous. Pour lui, le Salon de lâAgriculture est une nĂ©cessitĂ©, un retour aux sources. Je dirais mĂȘme que cette visite est vitale. On a beau avoir fait des Ă©tudes⊠on a beau avoir Ă©tĂ© chef dâentreprise⊠Le sang qui coule dans vos veines vous rappelle vos le sang qui a forgĂ© des Hommes rudes, droits dans leurs souliers. Câest le sang oĂč sâenchevĂȘtrent les saisons qui colorent les prĂ©s, les bois et les coteaux⊠Celui qui nourrit les champs avec le labeur et la lâodeur des foins coupĂ©s, des blĂ©s ramassĂ©s, des sillons le bruit du ruisseau qui poursuit sa course vagabonde, celui de la cloche des Ă©glises, celle des vaches que paissent ici et lĂ , celui du coq qui vous rĂ©veille le matinâŠDans la gĂ©nĂ©alogie de Mr, toutes branches confondues et sur 10 gĂ©nĂ©rations, on trouve majoritairement des laboureurs, des fermiers et des cultivateurs, tous altiligĂ©riens, cantalous, puydomois, lozĂ©riens ou reçu des rĂ©compenses agricoles ? LâHistoire ne le dit pas. Mais, je suis sĂ»re quâils accompagnent leur descendant lors de sa visite au salon et je pense que que cela est vous lâaurez compris, Mr a lâAuvergne en cathĂ©ter ! Bon sang ne saurait mentir ! Source YouTube Trois cafĂ©s gourmands clip officiel En fĂ©vrier, Ma Cuisine Ancestrale raconte mon gĂąteau prĂ©fĂ©rĂ©, celui qui fait frĂ©tiller mes papilles de plaisir. Le millefeuille ou mille-feuille, les deux orthographes Ă©tant correctes, doit son nom au nombre Ă©levĂ© de feuillets de pĂąte qui composent chaque gĂąteau. Compte tenu de la mĂ©thode traditionnelle de prĂ©paration de la pĂąte feuilletĂ©e, en six Ă©tapes de pliages en trois, le mille-feuille comporte en rĂ©alitĂ© 729 paires de feuillets⊠Vous suivez ! Eh oui, parfois, la pĂątisserie Ă©pouse les pensais que le millefeuille Ă©tait une crĂ©ation rĂ©cente mais je me trompais puisque la premiĂšre version remonterait au XVIIe histoire Le millefeuille aurait Ă©tĂ© créé par François Pierre de La Varenne, qui le dĂ©crit dans son livre Le Cuisinier françois » en 1651. Il aurait Ă©tĂ© ensuite perfectionnĂ© par Marie-Antoine CarĂȘme, cuisinier de Charles-Maurice de Talleyrand-PĂ©rigord. Maguelonne Toussaint-Salmat, lâautrice de La trĂšs belle et trĂšs exquise histoire des gĂąteaux » mentionne une recette publiĂ©e en 1806 et signĂ©e dâun certain câest en fait la pĂątisserie Seugnot situĂ©e rue du bac Ă Paris, qui proposa les premiers millefeuilles en 1867 confectionnĂ©s par Dubose, le chef pĂątissier dâAdolphe Seugnot. De plus, la perfide Albion aurait inventer une fausse lĂ©gende le Millefeuille nâĂ©tait pas le gĂąteau prĂ©fĂ©rĂ© de NapolĂ©on Bonaparte qui en aurait attrapĂ© une indigestion Ă la veille de Ă©tant par ailleurs le nom de cette pĂątisserie en mĂȘme titre que dâautres classiques, la mille-feuille symbolise le gĂ©nie de la pĂątisserie française dans le monde entier. CĂŽtĂ© cuisine Le millefeuille est fait de trois couches de pĂąte feuilletĂ©e et deux couches de crĂšme pĂątissiĂšre aromatisĂ©e au rhum. Le dessus est recouvert avec du sucre glace ma version prĂ©fĂ©rĂ©e ou du fondant. RĂ©alisation pour 8 personnes Composition CANVA Collection personnelle Comme Ma Cuisine Ancestrale, rĂ©alisez-vous votre pĂąte feuilletĂ©e ? Non, alors je vous encourage Ă le faire⊠Câest un peu long mais, elle est bien meilleure que celle du commerce. Sinon, choisissez un pĂąte feuilletĂ©e pur beurre ou achetez la chez votre de vous lancer, mieux quâun long discours, voici un tuto qui explique trĂšs bien la mĂ©thode du feuilletage ordinaire VidĂ©o JâespĂšre que ce gĂąteau ravira vos papilles autant que les miennes. En attendant notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous et dites-moi quel est votre gĂąteau prĂ©fĂ©rĂ© ! Moi, câest dĂ©jĂ fait ! Sources Recette inspirĂ©e par Origine du mille-feuille collection personnelle Nous savons tous que lâeffet papillon » est matĂ©rialisĂ© par une chaĂźne dâĂ©vĂ©nements qui se suivent les uns les autres et dont le prĂ©cĂ©dent influe sur le assimiler la gĂ©nĂ©alogie Ă cette thĂ©orie ? Cela mâest apparu comme une Ă©vidence en examinant le graphique de la descendance de mon ancĂȘtre breton, Yves STEUN, sur HĂ©rĂ©dis. Descendance Yves STEUN X JANNE GUEGEN La majeure partie de mon papillon est originaire de Ploujean, petite commune du FinistĂšre, officiellement rattachĂ©e Ă Morlaix depuis le 19 fĂ©vrier 1959. Carte de Cassini â A la tĂȘte de mon papillon se trouve Yves STEUN, honorable Sosa 7328, 7352, 7368 et 7408 Ă la 13e est nĂ© vers 1570 et dĂ©cĂ©dĂ© le 21 janvier 1632 Ă lâĂąge dâenviron 62 ans. Il a Ă©pousĂ© Janne GUEGUEN, Sosa 7329, 7353, 7369 et 7409, vers leur connais trois enfants dont Guillaume et Jean qui ont la particularitĂ© dâĂȘtre, Ă©galement, mes ancĂȘtres directs rĂ©vĂ©lant ainsi plusieurs implexes. Guillaume STEUN, Sosa 3664, est nĂ© vers 1600 et est dĂ©cĂ©dĂ© le 12 juillet 1640 Ă environ 40 ans. Il a Ă©pousĂ© Françoise GEFFROY, Sosa 3665 avant 1629. Je leur connais 4 enfants dont Pierre, Sosa 1832. Fichier HĂ©rĂ©dis CrĂ©ation CANVA Jean STEUN est mon Sosa 3676,3684 et 3704. Il est nĂ© le 5 janvier 1603 et est dĂ©cĂ©dĂ© le 27 mai 1680 Ă 77 ans .Il sâest mariĂ© avec Marguerite JEFFROY, Sosa 3677, 3685 et 3705, le 10 novembre leur connais 5 enfants dont Yves Sr STEUN et François STEUN qui sont aussi mes ancĂȘtres directs. Fichier HĂ©rĂ©dis Yves Sr STEUN, Sosa 1838 & 1852, est nĂ© le 6 aoĂ»t 1634 et est dĂ©cĂ©dĂ© le 23 octobre a Ă©pousĂ© Marguerite HAMON, Sosa 1839 & 1853, nĂ©e vers 1636, avant 1659, annĂ©e de naissance de leur premier leur connais 10 enfants dont Catherine STEUN et Yves Jr STEUN qui sont Ă©galement mes ancĂȘtres directs. Fichier HĂ©rĂ©dis Catherine STEUN est mon Sosa 919. Elle est nĂ©e le 21 avril 1669 et est dĂ©cĂ©dĂ©e le 9 octobre 1710. Elle a Ă©pousĂ© Allain BERRIC, le 1er aoĂ»t 1695. Je leur connais 6 enfants dont Jaquette BERRIC, Sosa 459. CrĂ©ation Canva Yves Jr STEUN, est mon Sosa 926. Il est nĂ© le 7 fĂ©vrier 1672 et est dĂ©cĂ©dĂ© le 12 dĂ©cembre 1727. Il a Ă©pousĂ© Catherine MEL, le 23 janvier 1702. Je leur connais dix enfants dont Barbe STEUN, Sosa son pĂšre avant lui, Yves Jr est lieutenant de milice-garde cĂŽte cliquez, une charge incombant aux rĂ©sidents des bords de mer ou dâestuaires jadis. CrĂ©ation CANVA François STEUN est mon Sosa 1842, nĂ© le 22 juin 1647 et il est dĂ©cĂ©dĂ© aprĂšs 1700. Il a Ă©pousĂ© en premiĂšres noces, Perrine MEL, le 15 mai 1673. Je leur connais 3 il sâest remariĂ© avec Catherine ROLLAND, le 28 avril 1681. Je leur connais deux filles dont Jacquette STEUN, Sosa 921. Fichier HĂ©rĂ©dis CrĂ©ation Canva Cet arbre de descendance montre bien les liens de parentĂ© depuis lâancĂȘtre commun. Chaque aile reprĂ©sentant une branche visible jusquâĂ Louise Marie Elisabeth MORIN, ma grand-mĂšre maternelle, Maman et moi, avec en rouge les implexes. Et comme on peut le voir, les implexes, câest complexe. Ils dĂ©montrent surtout la volontĂ© quâavaient nos ancĂȘtres Ă se marier entre membres dâune mĂȘme famille ou affiliĂ©e, certainement, pour prĂ©server leurs biens et dans le cas prĂ©sent, dans une rĂ©gion la Bretagne qui est restĂ©e longtemps centrĂ©e sur elle-mĂȘme. Mon papillon a quittĂ© Ploujean Ă la gĂ©nĂ©ration 6 pour se poser Ă Garlan et Plouigneau avec les gĂ©nĂ©rations 7 et 8 et a continuĂ© sa route jusque dans le Calvados, Ă May-sur-Orne et Saint-RĂ©my, avec les gĂ©nĂ©rations 9 Ă 12. Je termine mon billet avec cette citation Les papillons sont les hĂ©ros tragiques de la nature. Ils vivent la plupart de leur vie en Ă©tant ordinaires. Et puis, un jour, lâinattendu se produit. Ils jaillissent de leurs cocons dans un flamboiement de couleurs et deviennent tout Ă fait extraordinairesâŠKelseyleigh ReberIl aura fallu plus de quatre siĂšcles et treize gĂ©nĂ©rations jusquâĂ moi pour que cette mĂ©taphore sâapplique Ă mon papillon gĂ©nĂ©alogique. Sources HĂ©rĂ©disCGF 29 â Cercle GĂ©nĂ©alogique du FinistĂšre Collection personnelle En ce dĂ©but dâannĂ©e, Ma Cuisine Ancestrale vient Ă la rescousse de tous ceux qui ont le moral dans les chaussettes et leur propose une recette rĂ©gressive Ă souhait⊠une recette doudou » qui a le pouvoir de nous ramener en enfance câest mon cas et de nous faire oublier, le temps de sa dĂ©gustation, la morositĂ© ambiante. Suivez-moi au pays dâAuge pour y dĂ©couvrir un dessert au nom Ă©trange, la Teurgoule, dont lâhistoire remonte au XVIIIe ce temps-lĂ , la Normandie Ă©tait une rĂ©gion cĂ©rĂ©aliĂšre. La population se nourrissait essentiellement de bouillies Ă base de blĂ©, dâorge, dâavoine ou de sarrasin. Mais, la mĂ©tĂ©o capricieuse on ne parlait pas encore de rĂ©chauffement climatique influençait ce que nos ancĂȘtres mettaient dans leur la disette sâinstallait et ce ne sont pas les processions religieuses et encore moins lâinterdiction de la libre circulation des grains dâune rĂ©gion Ă lâautre qui arrangeaient les 1757, lors dâune crise alimentaire sĂ©vĂšre, il a fallu faire face au dĂ©ficit des vivres pour Ă©viter les rĂ©voltes frumentaires et les Ă©meutes consĂ©quentes dues Ă la disette. Câest alors que François-Jean ORCEAU DE FONTETTE 1718-1794, Intendant de la GĂ©nĂ©ralitĂ© de Caen est intervenu en faveur des plus 1756, le royaume Ă©tait en guerre contre les anglais ; une guerre qui a durĂ© 7 ans 1756-1763. En mer, les corsaires normands faisaient la chasse aux navires marchands ennemis. Les briks anglais capturĂ©s Ă©taient dĂ©lestĂ©s de leurs denrĂ©es provenant des Indes et du Nouveau-Monde cannelle de Ceylan, riz de Caroline, sucre de Virginie, etcâŠFrançois-Jean ORCEAU DE FONTETTE eut lâidĂ©e de racheter ou de confisquer les cargaisons de riz dĂ©robĂ©es pour palier au manque de la GĂ©nĂ©ralitĂ© de Caen, une grande campagne a, alors, commencĂ© pour faire accepter cette denrĂ©e cuisines de lâIntendant ont servi de laboratoire pour accommoder le riz. On y a mis au point une bouillie parfumĂ©e avec des Ă©pices. Les recettes et les mĂ©thodes Ă©taient diversifiĂ©es et elles Ă©taient, ensuite, placardĂ©es. Les curĂ©s, responsables des paroisses, Ă©taient chargĂ©s de distribuer le riz et ses recettes. Mais dâoĂč vient le nom Ă©trange de Teurgoule?En normand, la goule, câest la gueule, la bouche⊠Avoir de la goule, câest ĂȘtre gourmand et Ă part la terrinĂ©e qui renvoie au mode de cuisson, il existe moult synonymes teurgoule, tourgoule, torgoule, tergoule⊠mais, toujours avec la goule Le terme pourrait signifier qui tord la bouche » ou qui fait faire la grimace »⊠parce que nos ancĂȘtres se prĂ©cipitaient pour avaler cette bouillie trop chaude ou trop roborative, parce que les grains de riz nâavaient pas atteint lâonctuositĂ© des grains dâaujourdâhui ou parce que la cannelle retournait la bouche Ă cause de sa saveur jusque lĂ inconnue⊠Quelque soit la raison, ce dessert a su marier le bon lait normand, le riz et la cannelle et a su sâimplanter, particuliĂšrement dans le Calvados, et il fait aujourdâhui partie du patrimoine normand. CrĂ©ation personnelle Canva Collection personnelle Autrefois, la teurgoule Ă©tait cuite dans le four des boulangers aprĂšs la fournĂ©e. Elle mijotait ainsi pendant plusieurs heures sur le reste des braises. Note Jâai fait cuire ma terrine Ă 160° â On peut remplacer la cannelle par de la vanille en poudre, du chocolat, du caramel ou encore du Calvados. Si vous avez de la goule, sachez que la Teurgoule est encore meilleure accompagnĂ©e dâune tranche de Fallue cliquez pour dĂ©couvrir la recette JâespĂšre que cette recette rĂ©confortante vous mettra du baume au coeur en attendant les jours dâici, notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous ! Moi, câest dĂ©jĂ fait đSources Origine La Teurgoule, une histoire de corsaires â Annie de GERYRecette ConfrĂ©rie de la Teurgoule et de la Fallue en Normandie â HonfleurImages Collection personnelle Dans mon billet prĂ©cĂ©dent, je dĂ©couvre que Louis MAIGRET pĂšre, sâest reconverti en maĂźtre de danse en 1739 information renseignĂ©e dans lâacte du premier mariage de Louis fils.Louis MAIGRET fils, lui, devient un peintre reconnu de la sociĂ©tĂ© laonnoise. Si, on ignore quand a dĂ©butĂ© sa vocation dâartiste peintre, il a, sans nul doute, hĂ©ritĂ© de la fibre artistique de son pĂšre. CotĂ© GĂ©nĂ©alogie Louis MAIGRET fils est le quatriĂšme enfant de Louis & Marguerite NIVART, Sosa 362 -363 et petit frĂšre de Marie Simone, Sosa 181. Il naĂźt le 15 Mai 1705 Ă Laon, paroisse de Vaux-sous-Laon. Il est baptisĂ© le lendemain, 16 mai. Ses parrain et marraine sont Pierre Louis FROMAGE, fils de Mr lâadvocat FROMAGE, demeurant Ă Laon et Barbe Elisabeth MARQUETTE-CATALAN, femme de Mr MARQUETTE-CATALAN, Capitaine-Major de la ville de Laon. Louis fils se mariera trois 30 juin 1739, ĂągĂ© de 34 ans, il Ă©pouse Marie Jeanne LEVECQUE, 35 ans et veuve de Louis LE BEGUE. Deux fils naissent de ce premier Jeanne dĂ©cĂšde le 4 fĂ©vrier 1752, Ă Laon, paroisse de Saint-Eloy en lâabbaye Saint Martin. Elle est inhumĂ©e le lendemain dans le cimetiĂšre de cette ne la pleure guĂšre puisque 10 jours plus tard, il Ă©pouse, le 14 fĂ©vrier 1752, Marie Claude DUVAL, ĂągĂ©e de 37 ans. De leur union naissent trois Claude dĂ©cĂšde Ă son tour, le 24 septembre 1762 et est inhumĂ©e le lendemain en la paroisse St-Eloy de second veuvage de Louis fils dure un peu plus longtemps que le premier quatre mois. Le 18 janvier 1763, il convole en troisiĂšme noces avec Marie-Jeanne SECQUEVAL, fille de Mathias SECQUEVAL, musicien basson de la CathĂ©drale de Laon. Un garçon et deux filles naissent de cette derniĂšre union. Louis fils dĂ©cĂšde le dimanche 21 Septembre 1777 Ă lâĂąge de 72 ans. Son acte de dĂ©cĂšs stipule quâil est inhumĂ© le lendemain, lundi 22 septembre, dans le fond du cimetiĂšre contre le mur de lâĂ©glise, du cĂŽtĂ© nord de lâĂ©glise paroissiale de Notre-Dame-du-MarchĂ© de Laon. Un inventaire aprĂšs dĂ©cĂšs est dressĂ© le 4 octobre 1777 sur la requĂȘte du procureur du roi attendu la modicitĂ© des objets et le peu de valeur des effets dĂ©laissĂ©s par ledit MEGRET et encore, Ă cause de lâabsence de deux de ses enfants, dâune premiĂšre alliance. »Lâinventaire fini, le procureur dĂ©clare la communautĂ© avec sa troisiĂšme femme, dissoute et tous les objets mis en jour mĂȘme, il est procĂ©dĂ© Ă la vente publique des meubles et effets de la succession. Le montant de la vente sâĂ©lĂšve Ă 435 livres. Lâestimation portĂ©e sur lâinventaire nâĂ©tait que 333 livres 10 un extrait de son inventaire aprĂšs dĂ©cĂšs Gallica BNF â Bulletin de la SociĂ©tĂ© Historique de la Haute Picardie â 01/01/1935 Son Ćuvre Louis Ă©tait un bon peintre de portrait. Un juge compĂ©tent dira Il rend avec une finesse extrĂȘme les broderies, bijoux, dessin est excellent et jâai remarquĂ© combien les mains sont en gĂ©nĂ©ral MAIGRET est un artiste adroit, consciencieux, exact ; aussi il ne flatte, ni nâembellit ses modĂšles qui doivent ĂȘtre dâune ressemblance frappante, parfois cruelle ! » Voici quelques portraits peints par Louis MAIGRET Je reconnais que les visages sont austĂšres mais les vĂȘtements et accessoires sont peints avec beaucoup de finesse. Comme la vie de mes ancĂȘtres, ces tableaux ont eu une destinĂ©e hors du commun. A lire, ici ! Malheureusement, lâexercice de son art nâa pas menĂ© Louis MAIGRET fils Ă la richesse et aucun de ses enfants nâhĂ©rita de son talent et ne suivit ses pas. Quel dommage ! Mais je suis ravie de constater que le pĂšre et le fils ont dĂ©veloppĂ© leur sens du raffinement au point de devenir Aisne â LaonSite GĂ©nĂ©anet â Gallica BNF â Bulletin de la SociĂ©tĂ© Historique de la Haute Picardie â 01/01/1935 â Un peintre de la sociĂ©tĂ© laonnoise au XVIIIe siĂšcle â Louis Maigret 1705-1777 Gallica BNF â Le maĂźtre de danse, Ph. Canot, XVIIIe siĂšcle Nouvelle annĂ©e oblige, la tradition voudrait que je vous parle de mon Sosa 2022. Mais, voilà ⊠je suis bloquĂ©e au niveau de mon Sosa 1011, Marguerite BOURIENNE. Comme je ne connais ni sa date et ni son lieu de naissance, jâignore qui sont ses parents, Sosa 2022 et ce dĂ©but dâannĂ©e, voyons le verre Ă moitiĂ© plein⊠jâai 12 mois moins un jour, 8721 heures il est 15 heures pour effectuer les recherches qui sâimposent afin de dĂ©couvrir qui ils sont. Alors, pour commencer mon annĂ©e gĂ©nĂ©alogique, je vais vous raconter mes dĂ©couvertes concernant Louis MAIGRET, pĂšre et fils, honorables ancĂȘtres de ma lignĂ©e que jâai trouvĂ©, Ă leur sujet, sied bien Ă ce dĂ©but dâannĂ©e⊠tout en art et lĂ©gĂšretĂ©âŠRemontons le temps⊠le patronyme MAIGRET ou MEGRET est attestĂ© Ă Laon Aisne depuis le XVe siĂšcle Source Gallica â Bulletin de la SociĂ©tĂ© Historique de Haute Picardie â 01/01/1935 Les personnes citĂ©es ci-dessus sont-elles liĂ©es Ă mes ancĂȘtres ? Pour le moment, lâhistoire ne le dit pas et il faudrait effectuer un examen approfondi des archives notariales pour pouvoir lâaffirmer encore un projet pour 2022 Actuellement, cette branche de mon arbre sâarrĂȘte au XVIIe MAIGRET Sosa 362 est le fils de Pierre, vigneron +06/11/1684 & de Anne OUDOUX Sosa 724-725. Il voit le jour Ă Laon, paroisse de Vaux-sous-Laon, le 4 novembre 1677 et est orphelin de pĂšre Ă 7 23 janvier 1699, Ă 21 ans, il Ă©pouse en lâĂ©glise Saint-Jean-Le-Baptiste de Vaux, Marguerite NIVART, 27 ans Sosa 363, fille de Pierre, maĂźtre boulanger & de Magdelaine ALBOUCQ Sosa 726-727.Marguerite est lâaĂźnĂ©e de Louis de 6 ans, Ă©tant nĂ©e le 1er Janvier 1672 dans la mĂȘme paroisse. Eglise Saint-Jean-Le-Baptiste de Vaux-sous-Laon â Source GĂ©nĂ©anet Je connais cinq enfants Ă Louis & Marguerite Fichier personnel HĂ©rĂ©dis Marie Simone est mon Sosa 181 mais, pour ce billet, je mâintĂ©resse surtout Ă Louis, son frĂšre. Quant Ă Louis, leur pĂšre, selon les actes, il est dâabord qualifiĂ© de manouvrier, tuilier en 1705, puis maĂźtre tuilier en 1727 et surprise⊠quelques entrechats plus tard, il est dit maĂźtre de danse en 1739⊠Mon aĂŻeul possĂ©dait ainsi plus dâune corde Ă son arc et a connu lâart de la reconversion professionnelle⊠Câest inattendu mais avĂ©rĂ© !Pour devenir maĂźtre de danse, Louis a, sans doute, suivi un apprentissage de 4 ans pour recevoir son brevet de maitrise, obligatoire pour enseigner, tout en dĂ©dommageant et en respectant les statuts et rĂšglement de sa confrĂ©rie Gallica BNF â La communautĂ© des maitres de danse et joueurs dâinstruments dans la tourmente XVIIe-XVIIIe siĂšcle Gallica BNF â La communautĂ© des maitres de danse et joueurs dâinstruments dans la tourmente XVIIe-XVIIIe siĂšcle Gallica BNF â La communautĂ© des maitres de danse et joueurs dâinstruments dans la tourmente XVIIe-XVIIIe siĂšcle AprĂšs des ancĂȘtres cuisiniers, un maĂźtre de danse⊠Il me reste Ă trouver uncoiffeur les meilleurs, dixit le quotidien Le XIXe siĂšcle »⊠VoilĂ qui enverrait des paillettes sur ma gĂ©nĂ©alogie âșEt les surprises ne sont pas terminĂ©es, dans un second billet, je vous raconterai la vie de Louis MAIGRET, fils⊠un peintre de la sociĂ©tĂ© laonnoise au XVIIIe suivreâŠSources Aisne â Laon â Paroisse de VauxGallica BNF â Bulletin de la SociĂ©tĂ© Historique de Haute Picardie â 01/01/1935Image Eglise de Vaux-sous-Laon â Site GĂ©nĂ©anet Image Le maĂźtre de danse, Ph. Canot, XVIIIe siĂšcle â Gallica BNF â La communautĂ© des maitres de danse et joueurs dâinstruments dans la tourmente XVIIe-XVIIIe siĂšcleâ StĂ©phanie Tonnerre-Seychelles Ho, Ho⊠NoĂ«l approche ! Et en dĂ©cembre, Ma cuisine ancestrale fait une excursion dans lâEst de la France, en forestiĂšre, lâarbre y est roi et je soupçonne le PĂšre NoĂ«l dây avoir installĂ© ses ateliers avec ses lutins puisque de nombreux chantourneurs y fabriquent des jouets en bois pour gĂąter les enfants lâapproche des fĂȘtes de fin dâannĂ©e, quel plaisir de se rĂ©fugier dans les traditions hĂ©ritĂ©es de nos aĂŻeux en faisant appel aux souvenirs de famille. Câest aussi un moment privilĂ©giĂ© pour se retrouver et rĂ©aliser les recettes dâ ces derniĂšres, en Franche-ComtĂ©, se trouve une coutume ancienne, le Cugneux ou Quigneu, une brioche que les parrains et marraines offraient Ă leur filleulle le jour de NoĂ«l et dans laquelle, ils cachaient une piĂšce de monnaie. Le nom, la forme et les recettes changent selon les villages Quignieu, Quegneu, Quigneu ou encore Ramin en dâautres au nord, la forme nâest pas sans rappeler un nouveau-nĂ© emmaillotĂ© dans ses langes telle la Coquille en dĂ©gustation de ce Cugneux empli de fruits secs, figure la manducation eucharistique communion de lâenfant transition, voici la recette empruntĂ©e Ă MĂ©mĂ© Suzanne, habitante de Giromagny 90 CrĂ©ation Canva Notes Avec les quantitĂ©s renseignĂ©es sur la recette, jâai rĂ©alisĂ© deux brioches et jâai laissĂ© levĂ© la pĂąte deux fois une heure. Je vous souhaite de trĂšs belles fĂȘtes de fin dâannĂ©e et dâici notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous ! Moi, câest dĂ©jĂ fait đSources Recette et origine â collection personnelle La Toussaint approche et sans doute, irez-vous vous recueillir et fleurir les tombes des personnes que vous avez aimĂ©es. Ma Cuisine Ancestrale, elle, les commĂ©more Ă sa maniĂšre en partageant la recette des gĂąteaux de lâĂąme, des biscuits qui possĂ©deraient un pouvoir. Avant de vous dĂ©voiler ce pouvoir, une petite prĂ©cision sâimpose la Toussaint nâest pas la fĂȘte des morts ! La Toussaint est une fĂȘte catholique, instituĂ©e au 8Ăšme siĂšcle et cĂ©lĂ©brĂ©e le 1er novembre en lâhonneur de tous les saints connus ou inconnus. Le jour des morts, est cĂ©lĂ©brĂ© officiellement, le 2 novembre. Le 1er novembre est en France, depuis 1801, lâune des quatre fĂȘtes religieuses chĂŽmĂ©es contrairement Ă la fĂȘte des morts. Cette derniĂšre a Ă©tĂ© créée en 998 par le MonastĂšre bĂ©nĂ©dictin de Cluny et a Ă©tĂ© inscrite par lâĂglise dans son calendrier universel Ă partir du 13e siĂšcle, mais elle nâest jamais devenue un jour pour cette raison que nous avons pris lâhabitude de nous rendre dans les cimetiĂšres le jour de la Toussaint fusionnant ces deux commĂ©morations. Dans les pays de tradition catholique, des desserts sont confectionnĂ©s pour la Toussaint et en souvenir des quelques gĂąteaux, pains ou biscuits rĂ©alisĂ©s pour ces deux fĂȘtes en France en cliquant sur leur nom, vous trouverez leur recette En Seine-et-Marne, on confectionne des niflettes. Les niflettes remonteraient au Moyen-Ăge et seraient originaires de la ville de Provins, mais elles pourraient aussi bien provenir de Coulommiers ou de Nangis. Les niflettes Ă©taient prĂ©parĂ©es pour le 1er la tradition, cette pĂątisserie Ă©tait offerte aux orphelins qui pleuraient devant la tombe de leurs parents, en leur disant ne flete » qui signifie ne pleure pas ». Cette phrase de consolation serait Ă lâorigine du nom de cette dĂ©licieuse niflettes sont des petites tartelettes composĂ©es dâun rond de pĂąte feuilletĂ©e, garnie de crĂšme pĂątissiĂšre. Elles se consomment froides ou tiĂšdes, comme dessert mais aussi Ă nâimporte quel autre moment de la journĂ©e !Pour la recette, je vous invite Ă visiter le blog Lâarbre de vie de Pascal. Une seconde spĂ©cialitĂ© rĂ©gionale de Provins ou de Meaux⊠nommĂ©e GĂąteau briard de la Toussaint aurait vu le jour au 18e siĂšcle. Certaines pĂątisseries et congrĂ©gations de la rĂ©gion briarde et de la rĂ©gion parisienne en perpĂ©tuent la tradition lors de la fĂȘte de la un gĂąteau composĂ© dâune dacquoise Ă la pistache, dâune crĂšme Chiboust au citron, surmontĂ© de citron confit et de framboise. Dans le nord de la Corse, vers Bastia, on confectionne la Salviata ou Serviade, un gĂąteau en forme de avais fait allusion lors de mon ChallengeAZ en 2015 rĂ©servĂ© aux spĂ©cialitĂ©s culinaires de mes Corse du sud, Ă Bonifacio, on rĂ©alise le pain de Bonifacio ou pain des morts, Ă lâorigine appelĂ© ĂŒga siccata .Il est prĂ©parĂ© le soir de la Toussaint, la veille de la fĂȘte des dĂ©funts, et laissĂ© sur la table Ă lâintention des dĂ©funts, mais en rĂ©alitĂ© il est destinĂ© aux plus un pain Ă base de farine, levure de boulanger, eau, beurre, sucre, sel, Ćufs, lait, raisins secs, noix et citron. En Bretagne, lâusage voulait quâĂ la Toussaint, on mange des crĂȘpes de blĂ© noir en prenant soin de garder la part des morts ». Autrefois, on voyait les enfants aller de village en village, munis dâune sonnette pour quĂȘter la crĂȘpe des trĂ©passĂ©s. Aux confins de la Normandie et de la Picardie, dans le pays de Bray, on mange le PĂątĂ© aux poires de poire de FisĂ©e ou poire de FusĂ©e FisĂ©e Ă©tant la forme dialectale normande de fusĂ©e est une spĂ©cialitĂ© normande de cette rĂ©gion. La Poire de FisĂ©e serait la FusĂ©e dâAutomne, une variĂ©tĂ© ancienne originaire de Haute-Saxe, mentionnĂ©e en 1628 par le procureur du roi Ă OrlĂ©ans. Devenu rare, lâarbre est toujours cultivĂ© dans le nord du dĂ©partement de Seine-Maritime. Sa chair est dure et blanche mais, devient rougeĂątre Ă la cuisson. La poire nâest consommable que cuite sous forme de confitures, de fruits confits et de tarte. Elle est aussi utilisĂ©e pour la fabrication du poirĂ©, cidre obtenu Ă partir des pĂątĂ© de poires de FisĂ©e est un gĂąteau aux senteurs dâautomne qui se dĂ©guste Ă la Toussaint autour de Dieppe et de NeufchĂątel-en-Bray, pĂ©riode de rĂ©colte de ces poires. En Catalogne, on fabrique des panellets petits pains, un dessert catalan traditionnel de la Toussaint, consommĂ© Ă lâoccasion de la Castanyada », fĂȘte populaire cĂ©lĂ©brĂ©e la veille ou le jour de la Toussaint, issue dâune ancienne fĂȘte rituelle existeraient depuis le XVIIĂš siĂšcle oĂč ils Ă©taient considĂ©rĂ©s comme un aliment bĂ©ni Ă partager aprĂšs certaines fĂȘtes sacrĂ©es. Les panellets bĂ©nĂ©ficient depuis le 2 octobre 2008 de lâappellation europĂ©enne spĂ©cialitĂ© traditionnelle garantie » Une fois nâest pas coutume, Ma Cuisine Ancestrale sâinvite chez nos voisins Grands-Bretons, pays des soul cakes traduction anglaiseAutrefois, les gĂąteaux de lâĂąme Ă©taient distribuĂ©s aux enfants et aux pauvres qui allaient de porte en porte, mendiant lâaumĂŽne, le jour de la Toussaint . Chaque gĂąteau mangĂ© libĂšrerait une Ăąme du purgatoire cette Ă©ventualitĂ© mâenchanteLe don et la rĂ©ception des gĂąteaux de lâĂąme ont commencĂ© au Moyen Ăge et sont considĂ©rĂ©s comme Ă lâorigine du Trick or Treat » dâAll Hallowâs Eve, une fĂȘte plus connue sous le nom dâHalloween et cĂ©lĂ©brĂ©e la veille de la Toussaint. Mais ça, câest une autre histoire !Pour rĂ©aliser une trentaine de biscuits Composition CANVA Ma petite touche personnelle jâai remplacĂ© le vinaigre de vin blanc par du vinaigre balsamique blanc que jâavais dans mon placard et jâai ajoutĂ© une cuillĂšre Ă soupe dâeau pour bien amalgamer la pĂąte. Ces sablĂ©s ressemblent beaucoup aux shortbreads⊠So british et parfaits avec le thĂ© ! Ce serait merveilleux quâen unissant notre goĂ»t pour la pĂątisserie dâautrefois, ces gĂąteaux libĂšrent les Ăąmes⊠Rien ne nous empĂȘche dây croire et en attendant notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous ! Moi, câest dĂ©jĂ fait ! Sources Origine de la Toussaint et de la FĂȘte des morts Dictionnaire Larousse et gĂąteaux de lâĂąme des niflettes de la salviata les-pap du pain de Bonifacio du pĂątĂ© aux poires de FisĂ©e des Panellets collection personnelle Image gratuite Alexandra Haynak de Pixabay Le RDVAncestral est un projet dâĂ©criture, ouvert Ă tous, qui mĂȘle littĂ©rature, gĂ©nĂ©alogie et rencontres improbables avec nos ancĂȘtres. La gĂ©nĂ©alogie est un curieux mĂ©lange de raison et dâaffect. Personnellement, lors de mes recherches, lâesprit et le cĆur sont souvent en conflit, les sentiments lâemportant sur la raison et faisant naĂźtre une multitude de nuances Ă©motionnelles comme dans lâhistoire qui sommes le 10 septembre 1892, Ă Samoussy, dans lâAisne et la journĂ©e sâannonce chaude. Alors que 10 heures du matin sonnent Ă lâhorloge de la mairie, plusieurs personnes pĂ©nĂštrent dans la salle commune. Jules AndrĂ© MARLY, 24 ans et Octavie Alphonsine WALLON, 21 ans, tous deux manouvriers, se ne savent pas quâils sont mes futurs grands-parents paternels et ne le sauront jamais. Mais, le destin a fait que le 10 septembre est un jour trĂšs particulier pour nous devait ĂȘtre le plus beau jour de leur vie⊠cependant les visages sont graves et un voile de tristesse plane sur lâ AndrĂ© nâest pas totalement heureux⊠Adeline Adolphine MARLY, son unique sĆur et son Ă©poux, Joseph Victor MATHIEU, sont pour cause⊠un Ă©vĂšnement dramatique sâest dĂ©roulĂ©, trois heures auparavant, plongeant le couple dans un immense Adolphine, 35 ans, Ă©tait enceinte de son septiĂšme enfant et a accouchĂ© dâun petit garçon mort-nĂ©, le matin mĂȘme, Ă sept Victor ira dĂ©clarer le dĂ©cĂšs demain Ă onze heures accompagnĂ© de deux voisins. Lâacte de dĂ©cĂšs suit lâacte de mariage dans le registre dâ vie reprend ses droits⊠Les ventres dâOctavie Alphonsine et dâAdeline Adolphine sâarrondissent presque en mĂȘme mois plus tard, le 22 avril 1893, Octavie Alphonsine accouche dâun petit garçon nommĂ© Jules Alphonse mais, lâenfant meurt le 8 Victor MATHIEU, 47 ans, assiste son beau frĂšre, Jules AndrĂ©, lors de la dĂ©claration du dĂ©cĂšs de lâ mieux quâun pĂšre ayant subit la perte dâun enfant pour accompagner un autre pĂšre dans son temps passe et le malheur frappe encore et encore⊠Adeline Adolphine accouche une nouvelle fois dâun enfant mort-nĂ©, le 13 juillet 1893. Cet enfantement est le dernier pour elle. Elle dĂ©cĂšde, le lendemain, 14 gĂ©nĂ©alogie Jâai trouvĂ©, rĂ©cemment, lâacte de dĂ©cĂšs du premier enfant mort-nĂ© dâAdeline Adolphine me permettant de reconstituer la chronologie de ces Ă©vĂšnements et cette dĂ©couverte mâa Ă©mue plus que je ne le souhaitais mais, Le cĆur a ses raisons que la raison ne connait pas.Blaise Pascal Sources Acte de mariage MARLY X WALLON Aisne â Samoussy â 5Mi0111 1863 1892 Vue 233Acte de dĂ©cĂšs BB Mathieu Aisne â Samoussy â 5Mi0111 1863-1892 â Vue 234MĂ©tĂ©o septembre 1892
Lamaison DUPONT avec un thĂ© est fiĂšre dâavoir remportĂ© le 1er prix de la ConfrĂ©rie de la tarte aux pommes normande, grĂące auLe 07/06/2014 Ă 932 MAJ le 12/06/2014 Ă 2008Tous les week-ends, dĂ©couvrez un produit frais de nos rĂ©gions et de la gastronomie française. Ce samedi la teurgoule. - -Tous les week-ends, dĂ©couvrez un produit frais de nos rĂ©gions et de la gastronomie française, grĂące Ă la chronique de Philippe Toinard, chroniqueur gastronomique de BFMTV. Ce samedi, la du 70e anniversaire du DĂ©barquement sur les plages normandes obligent, il Ă©tait naturel que "Cuisinez-Moi" sâintĂ©resse aux produits normands avec notamment la Teurgoule, dessert emblĂ©matique de Basse-Normandie connu et apprĂ©ciĂ© aussi en de nom pour un dessertCette recette de riz au lait parfumĂ© Ă la cannelle serait apparue au cours de la seconde moitiĂ© du XVIIe siĂšcle. Pour Ă©viter une disette qui se profilait dans les campagnes, on fit venir du riz dâoutre-mer que les bas-normands ne connaissaient pas ou peu et lâon placarda des recettes pour apprendre Ă prĂ©parer le riz. Parmi ces recettes, la terrinĂ©e que les bas-normands finirent par appeler teurgoule selon trois lĂ©gendes qui circulent âą la premiĂšre veut que ce riz au lait se sert tiĂšde mais que certains gourmands ne prenaient pas le temps de le laisser tiĂ©dir et le mangeaient chaud Ă sâen tordre la gueule ou la goule.âą la deuxiĂšme lĂ©gende prĂ©tend quâhistoriquement ce dessert nâavait pas le moelleux et le crĂ©meux dâaujourdâhui et quâil Ă©tait mĂȘme assez sec et que lĂ encore on mastiquait pour le manger, on se tordait donc la goule,âą et enfin, la troisiĂšme souligne que la cannelle nâĂ©tait pas un produit courant et que le goĂ»t de cette Ă©pice, une fois encore, par sa puissance leur tordait la particularitĂ© de la recette, son temps de cuissonSi chacun y va de sa recette et que de nombreuses variantes existent, il y a cependant un point commun, le temps de cuisson et le plat Ă teurgoule utilisĂ© que lâon appelle la la recette officielle de la ConfrĂ©rie de la Teurgoule, il faut compter 6 heures de cuisson. Une heure Ă four chaud Ă 150°C et cinq heures Ă 110°C. Un signe qui ne trompe pas, la croĂ»te dorĂ©e qui doit se former au-dessus et lâensemble qui ne doit pas ĂȘtre liquide. Pour rĂ©sumer, les 150 g de riz rond doivent avoir absorber les 2 litres de lait entier. On dit que le riz doit se fondre dans le lait jusquâĂ former une dessert qui a dĂ©passĂ© les frontiĂšres de la Basse-NormandieOui si lâon prend en compte la grande distribution qui en vend au rayon frais Ă cĂŽtĂ© des yaourts et des riz au lait mais câest rarement artisanal. Oui chez certains crĂ©miers fromagers en dehors de Basse-Normandie qui en proposent en version artisanale mais plus souvent en hiver. En insistant un peu, votre crĂ©mier doit pouvoir en faire le reste, câest essentiellement en Basse-Normandie que vous en trouverez. Il y en a sur les marchĂ©s, dans les Ă©piceries fines, chez les crĂ©miers et parfois directement Ă la ferme. Enfin, derniĂšre chance, vous pouvez en trouver sur certains sites Internet comme recette de la Teurgoule selon la ConfrĂ©rie de la TeurgoulePrĂ©paration 10 minutesCuisson 6 heuresIngrĂ©dients- 2 litres de lait entier- 150 grammes de riz rond- 180 grammes de sucre blanc en poudre- 1 pincĂ©e de sel- 2 cuillerĂ©es Ă cafĂ© arasĂ©es de cannelle en poudreDĂ©roulĂ©Mettre le riz dans le fond d'une terrine en terre cuite d'une contenance de deux litres. Ajouter le sucre en poudre, le sel et la cannelle et mĂ©langer le tout avec une spatule. Verser le lait tout en douceur afin que le riz reste bien au fond du rĂ©cipient. Bien saisir cette prĂ©paration dans un four chaud Ă 150°C pendant une heure puis baisser le feu Ă 110°C. Laisser cuire durant 5 heures. La Teurgoule est cuite quand la croĂ»te est dorĂ©e, et quand la prĂ©paration nâest plus liquide et se dĂ©guste avec une Fallue brioche.INFO PRIXDe 0,96 euros les 150 g version industrielle Ă 5,50 euros les 180 g version artisanale. Encoreune confrĂ©rie, celle de la Teurgoule et de la Fallue de Normandie ! Leur recette : Teurgoule: Riz au Lait Normand. PrĂ©paration : 10 minutes Cuisson : 6 heures â 2 l de lait entier â 150 g de riz rond â 180 g de sucre blanc en poudre â 1 pincĂ©e de sel â 2 cuillerĂ©es Ă cafĂ© arasĂ©es de cannelle en poudre . Mettre le riz dans le fond dâune terrine en terre cuite Avez-vous entendu parler, au moins une fois, de la teurgoule ? Si non, sachez qu'il s'agit de l'une des nombreuses recettes françaises typiques de la cuisine normande. C'est une spĂ©cialitĂ© culinaire de la Normandie qui se caractĂ©rise par sa simplicitĂ© de rĂ©alisation. Vous serez ravide parcourir cet article, si vous souhaitez en savoir davantage Ă propos ce met. Vous y trouverez toutes les informations nĂ©cessaires Ă la fois sur les ingrĂ©dients et les Ă©tapes de sa rĂ©alisation. Recette de la tergoule prĂ©sentation d'une spĂ©cialitĂ© culinaire de la Normandie Comme mentionnĂ© d'entrĂ©e de jeu en introduction, la teurgoule dĂ©signe une recette traditionnelle originaire de la Normandie, assez proche d'un riz au lait. C'est un dessert normand que vous prendrez un rĂ©el plaisir de dĂ©guster avec des invitĂ©s ou en famille. Cette forme de riz au lait se dĂ©cline en plusieurs variantes. Mais, quelle que soit la dĂ©clinaison, la teurgoule normande se dĂ©marque par une cuisson particuliĂšre lente. Le long de temps de cuisson de la teurgoule la rendparfaitement onctueuse in fine et trĂšs agrĂ©able en bouche. MalgrĂ© tout, c'est un met qui vous sĂ©duira par sa simplicitĂ© de prĂ©paration. Pour prĂ©parer l'ensemble des ingrĂ©dients avant de les mettre au four, vous ne passerez qu'une petite dizaine de minutes dans votre cuisine. Les ingrĂ©dients indispensables pour rĂ©aliser votre recette de teurgoule traditionnelle La teurgoule traditionnelle normande est une recette qui nĂ©cessite trĂšs peu d'ingrĂ©dients. Ainsi, pour rĂ©aliser ce dĂ©licieux dessert normand, vous aurez besoin de cannelle en poudre, de lait entier, de sel, de sucre blanc, de vanille en poudre ou encore de riz rond. La quantitĂ© de chacun de ces Ă©lĂ©ments dĂ©pend du nombre de personnes que vous avez invitĂ©. Pour ce qui est des ustensiles, il vous faut une terrine en terre cuite, une spatule en plus du four. Il convient d'insister sur le four, dans la mesure oĂč la rĂ©alisation de cette recette serait impossible sans cet appareil Ă©lectromĂ©nager. Tout savoir sur la prĂ©paration de teurgoule normande Pour dĂ©buter la prĂ©paration de votre teurgoule traditionnelle, mettez dans votre terrine en terre cuite, le riz. Ensuite, vous ajoutez le sel, le sucre en poudre, la cannelle ou la vanille avant de procĂ©der au mĂ©lange de l'ensemble de ces ingrĂ©dients Ă l'aide de votre spatule. Dans une seconde phase, vous devez y verser le lait en poudre. Veillez Ă ce que cette opĂ©ration soit effectuĂ©e avec toute la douceur possible, afin de permettre au riz de rester bien au fond de votre terrine en terre cuite. Pour terminer, vous dĂ©posez simplement votre rĂ©cipient contenant ce mĂ©lange dans le four. Mais, avant cela, vous devez prendre le soin de faire monter le thermomĂštre de votre four Ă une tempĂ©rature de plus de 150 °C. Laissez le tout Ă cette tempĂ©rature durant une heure, puis baissez la tempĂ©rature du four Ă 110 °C. AprĂšs, vous attendez environ 5 heures pour la cuisson de la teurgoule que vous concoctez. Sachez, par ailleurs, que pour son aspect final, la teurgoule ne doit pas ĂȘtre liquide, mais prĂ©senteune croĂ»te dorĂ©e. Larecette : la teurgoule normande de Jean-François PiĂšge. Au marchĂ©. 75 g de riz rond, 75 g de sucre, 1 gousse de vanille, 1 litre de lait. Au fourneau. Versez le
Maintenant que je vous ai prĂ©sentĂ© notre riz au lait ben de chez nous », je nâallais tout de mĂȘme pas faire lâimpasse sur notre brioche ! On est loin de la brioche vendĂ©enne dense et grasse que jâadore. Il sâagit plutĂŽt dâun pain au lait. Sa texture est plus sĂšche et câest pour cela quâon la dĂ©guste avec la teurgoule. Jâai repris la premiĂšre recette proposĂ©e par la ConfrĂ©rie de la fallue et de la 4 Ă 6 personnes IngrĂ©dients 250g de farine90 ml dâeau1 Ćuf50g de beurre mou25g de sucre5g de levure de boulangerie fraĂźche5g de selLa VEILLE dĂ©layez la levure dans lâeau additionnĂ©e du sucre dans la cuve de votre lâoeuf et le beurre coupĂ© en morceaux. puis le sel mĂ©langĂ© Ă la le programme pĂąte 1h30 = pĂ©trissage + 1ere pousse.A la fin du programme, placez la pĂąte dans un saladier fermĂ© et laisser fermentĂ© toute une nuit au lendemain sortez la pĂąte du frigo, dĂ©gazez-la et façonnez en un long le sur une plaque recouverte de papier cuisson, recouvrez dâun torchon et laissez doubler de voue Ă tempĂ©rature le four Ă 200° la brioche avec de lâoeuf les pointes dâun ciseau dans de lâeau froide et incisez profondĂ©ment la pĂąte Ă intervalles rĂ©guliers pour former des pour environ 25 minutes. La surface doit ĂȘtre bien dorĂ©e.
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